Peur, terrorisme, guerre et chaos : Détruire le monde pour mieux le sauver ?
La grande bascule a déjà eu lieu au début du XXe siècle : le 11 septembre 2001, un effroyable attentat tétanisa le monde entier : la première puissance mondiale se serait fait dérober, nous dit-on, 4 aéronefs dont deux d’entre eux auraient causé la destruction spectaculaire et improbable de 3 immeubles en mode « démolition contrôlée ».
Ce terrible événement traumatique servit d’alibi à l’Ogre mondialiste pour enclencher ouvertement sa cruelle marche destructrice dans le but d’édifier un monde uniformisé, remodelé1 et de conception anglo américaine.
L’effroi provoqué par cet acte odieux sous faux drapeau permit de justifier, sur le plan intérieur, un contrôle de plus en plus invasif de la population américaine et, sur le plan extérieur, un démembrement programmé2 de certains pays du Moyen-Orient (Irak, Libye, Syrie…) pour soit disant diffuser le modèle démocratique occidental et accessoirement s’emparer des ressources énergétiques du pays détruit3.
À noter que nombre de ces guerres comme tous les accès de folie humaine sont très souvent justifiées par d’énormes mensonges proférés et mis en scène de manière spectaculaire sur les média-mensonges (affaire des couveuses koweitiennes, armes de destruction massive irakiennes…) et s’y opposer, comme l’a fait le gouvernement français en 2003 par l’intermédiaire de Dominique de Villepin, expose à des sanctions de toutes natures (économiques et autres !)4.
Un complexe militaro-industriel rendu surpuissant par l’entretien de guerres permanentes ne va-t-il phagocyter, en fin de compte, les libertés qu’il est sensé protéger ?
Les vagues de violence que connut l’Europe (et particulièrement la France) une décennie plus tard aboutit curieusement aux mêmes conséquences : perte de libertés et accroissement de la surveillance de la population. Paradoxalement, l’arrivée de populations d’obédience politico religieuse à l’origine présumée du terrorisme meurtrier se poursuit inexorablement et massivement comme pour une mise en place programmée (inéluctable ?) d’un remplacement civilisationnel et l’instauration d’un contexte social perpétuellement chaotique.
Peur, pandémies et injections perpétuelles : ne pas soigner pour guérir ?!
Après une apparition infructueuse en 2009 et l’exercice de simulation pandémique new-yorkais d’octobre 2019 (Event 201), sous la houlette des psychopathes du World Economic Forum et de la Fondation Bill et Mélinda Gates, une pandémie mondiale en provenance de la Chine s’est enfin abattue sur un monde pétrifié par une colossale propagande médiatique magistralement orchestrée et coordonnée. Ainsi, depuis 2020, nous avons été sommés de croire en l’extrême dangerosité (0,025% de mortalité !)5 d’un virus au caractère naturel et imprévisible.
Paradoxalement, il fut décidé de ne plus soigner les malades mais d’appliquer des décisions qui, basées sur des prédictions de vagues épidémiques à répétition, furent prises en secret défense et consistèrent à imposer aux populations des injections perpétuelles de produits expérimentaux (aux délais de réactualisation ultra rapide) en vue de prévenir (en vain) de futures éventuelles infections. Cette politique sanitaire qui désormais bafoue le code de déontologie médicale et les textes internationaux relatifs au consentement nécessaire à tout traitement, loin d’être efficace semble entretenir la persistance des infections voire aboutir à une obsolescence prématurée de l’espérance de vie. Ne sommes-nous pas à l’aube de cette société transhumaniste numérisée promue par les instances davocratiques, dans laquelle des institutions supranationales comme l’OMS, inféodées à des intérêts majoritairement privés permettront à 20% « d’hommes dieux » de gérer un troupeau de 80% « d’hommes inutiles » ? Quitte à traiter au Rivotril les plus vieux d’entre eux !
Le complexe médico-industriel n’est-il pas en train de sacrifier la Santé sur l’autel de la rentabilité financière d’un cartel pharmacologique qui flirte avec le secteur militaire de la recherche bactériologique et qui est aux mains d’oligarques coalisés cherchant uniquement profit et retour sur investissement ?
Peur, changement climatique : détruire notre production énergétique pour mieux affronter les pénuries (programmées ?) tout en prônant le tout électrique ?!
Depuis le protocole de Kyoto en 1997, les média dans un mélange (volontairement ?) confus entre phénomènes climatiques et météorologiques ne cessent d’entretenir une anxiété culpabilisatrice. Nous redécouvrons avec effarement que l’eau mouille et peut créer des inondations dévastatrices (surtout en milieu urbain bétonné à outrance ou en zones montagneuses très instables), que des sécheresses, des incendies de forêt peuvent advenir pendant la saison chaude voire caniculaire de l’été, que la neige peut tomber en quantité variable selon les années pendant l’hiver… Le ciel va-t-il nous tomber sur la tête ?
Alors que la terre n’a pas attendu l’industrialisation humaine pour alterner des périodes glaciaires et des périodes interglaciaires depuis 2 millions d’années (selon les paramètres de Milankovic), subitement depuis peu, il a été décidé de manière indiscutable de condamner les émissions de CO2 humaines, accusées de manière péremptoire d’être l’unique responsable de l’évolution climatique !
Cette décision relève t-elle de conclusions issues d’un vaste débat scientifique ou d’une prétention idéologique du camp occidental, à l’apogée de sa domination mondiale réalisée grâce à l’utilisation des énergies fossiles que les pays émergents ou orientaux seraient sommés de ne plus utiliser, entravant ainsi leur propre développement économique ? De même, cette idéologie permet-elle aussi de justifier la volonté inique pour les dirigeants de mettre en place un passeport énergétique en direction de leurs « sans dents » en vue d’une limitation de leurs déplacements, d’un accroissement de la surveillance et d’un asservissement toujours plus important, facilité par une technologie numérique de plus en plus invasive ?
Comble d’incohérence, alors que par idéologie pseudo écologique les dirigeants détricotent notre indépendance électrique pourtant décarbonée pour la livrer à l’intermittence d’une trop faible production éolienne et solaire, ils nous engagent paradoxalement aussi, à passer au tout électrique tout en faisant appel aux centrales charbon pour pallier les pénuries électriques à venir. Dans quel monde dystopique sont-ils en train de nous conduire ?
Peur, désinformation, guerre nucléaire : renoncer aux approvisionnements gaziers et pétroliers pour défendre nos valeurs ?!
Par un non-respect permanent de ses engagements, des provocations récurrentes et une manipulation de dirigeants ukrainiens corrompus, les USA ont poussé la Russie dans une guerre fratricide contre l’Ukraine (jusqu’au dernier Ukrainien ?). De même que les agressions au Moyen Orient étaient pré programmées et fallacieusement justifiées, un projet de démembrement de la Russie* et des pays asiatiques est secrètement envisagé au coeur du pouvoir profond états-unien depuis au moins une décennie6.
La majorité des membres de l’UE sous l’influence hystérique d’une présidence autocratique ont par suivisme et/ou par soumission décidé de soutenir aveuglément et dangereusement les USA dans leur guerre proxy contre la Russie par – entre autres – la livraison d’armes à l’Ukraine et le boycott suicidaire des produits gaziers et pétroliers russes pourtant indispensables à leur économie, ceci augurant des pénuries hivernales voire un effondrement économique. Un soutien unilatéral à l’Ukraine pour, nous dit-on, la défense de nos valeurs ! Lesquelles ? La déconstruction anthropologique par l’instauration d’une théorie du genre inculquée dès l’enfance ? La promotion de la grossesse masculine ? L’interruption médicale de grossesse jusqu’au 9ème mois pour raison de « détresse psychosociale » ? Des familles où mère et père ont été remplacés administrativement par parent 1 et parent 2 pour justifier tout autre appariement humain improbable mais légal ?…
Un soutien pratiquement intimé par de nombreux journalistes qui, par une prêche cathodique permanente et agressive vont, pour certains, jusqu’à nier l’existence de faits pourtant avérés* dans l’objectif de discréditer leurs homonymes russes, les accusant de produire des fake news. « Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît »…
L’essence du journalisme, à savoir la recherche de la Vérité, n’est-elle pas tout simplement sacrifiée dans les média de « grands chemins » pour complaire aux oligarques propriétaires (en lien d’intérêts avec des dirigeants politiques corrompus) organisés en un cartel promouvant une presse qui délivre une doxa monolithique et qui, non content de désinformer en invisibilisant une partie des opinions jugées non conformes, tombe désormais dans le négationnisme médiatique tout en recevant des subsides confortables de l’État ?
Il est vrai que le dévoilement de la Vérité s’opère parfois au détriment de la liberté voire de la vie du messager comme pour Julian Assange que les USA ont condamné à mort.
Quelles perspectives ?
Force est de constater que le totalitarisme oligarchique en marche nous entraîne dans des dérives mortifères de tous ordres : militaire (conflit mondial ?), sanitaire, économique, social, sociétal.
De même, au regard de la façon dont la puissance états-unienne a pillé le fleuron industriel sensible français Alstom, via sa compagnie Général Electric, n’hésitant pas à emprisonné Frédéric Pierucci, cadre français durant 2 années[1], nous ne pouvons plus douter des intentions concurrentielles agressives américaines, même envers des nations considérées comme ses alliées[2] !
Aussi, il est grand temps de ne plus suivre aveuglément les USA dans leurs aventures guerrières souvent illégales et de récupérer une souveraineté nationale en quittant l’UE – de même que l’OTAN, bras armé de l’Ogre Sam – inféodée aux USA et qui, alors qu’elle avait été présentée à l’origine, comme porteuse de prospérité et de paix, va plonger les pays européens dans la guerre et le désastre économique, l’Allemagne annonçant paradoxalement un réarmement militaire inquiétant malgré sa volonté de suicide économique liée à son refus d’achat du gaz russe..